Habiter le bois pour faire vivre les résidents dans une cité jardin comme les reflets de soie dans le nouveau PUP Gimenez
151 logements, la cité jardin du PUP Gimenez, Vaulx-en-Velin
PROGRAMME
151 logements collectifs (128 en accession libre, 23 locatifs sociaux)
Parking privé 151 places en sous-sol
Espaces extérieurs paysagers
SURFACE
9 408 m² SDP
(4 350 m² lot C2, 5 058 m² lot C3)
MAÎTRE D’OUVRAGE
Cogedim Grand Lyon,
promoteur immobilier
Vilogia, bailleur social
ARCHITECTES
exndo architecte mandataire
en association avec
Okho architectures
EQUIPE DE MAÎTRISE D’OEUVRE
Wabisabi, paysagiste
RBS, BE structure
GC2E, BE fluides
BET Philippe, économiste
CONCOURS
lauréat consultation, 2015
LIVRAISON
tranche 1, 2018 / tranche 2, 2019
COÛT
10,3 M€ HT
Prolonger l’intention du parc pour habiter le bois
Habiter le bois est un ensemble de 8 bâtiments indépendants.
Leur conception simple et optimale doit à la fois préserver l’intimité des résidents tout en valorisant le paysage de la cité jardin.
Une dialectique entre bâti et paysage tels les reflets de soie de la Cité Jardin
Pour habiter le bois l’architecture rigoureuse se contraste avec le paysage dense et interagissent l’une à l’autre. Les résidents vivent dans le paysage depuis le sol, tout en contemplant les reflets de soie depuis l’espace intime de leur habitat.
- 1 sol actif créateur du voisinage
- Dialectique entre le bâti et son environnement extérieur urbain comme paysager
- 1 épannelage du rez-de-chaussée pour faire de la venelle un axe fort du PUP de Gimenez
- 2 ambiances paysagères entre nature sauvage et rustique et des prairies
Les localisations des bâtis produisent des caractéristiques architecturales spécifiques, complémentaires et variées. Lorsque les bâtiments sont en contact avec l’urbain ou les espaces collectifs majeurs, les loggias sont profondes. Une mise à distance nécessaire pour la préservation de l’intime est maintenue. Leur double hauteur répond aux grands espaces avec lesquels elles sont en relation. Lorsque les bâtiments sont en contact direct de la cité jardin, les loggias sont en angle pour créer des vues biaisées et ainsi échapper aux vis-à-vis.
Pour le PUP Gimenez, l’unité du programme est apportée par l’homogénéité des gabarits et des couleurs.
Les venelles en assurent la transition graduelle du passage du collectif vers la sphère de l’intime.
Le sol devient un lieu fédérateur : les reflets de soie communs et partagés.
Crédits photo © Renaud Araud